VOYAGES AU CENTRE DES REFLETS
Galerie Guigne (Paris 1981)
« Dominique est né à Limoges en 1947, d’une famille travaillant dans la porcelaine depuis des générations.
Le talent délicat du peintre, il l’a trouvé dans son berceau et, plus tard, Dominique a développé la finesse du trait, de la couleur et de la composition.
Puis, établi avec ses parents à Courbevoie, il fait ses études à l’Ecole Perceval (méthode Rudolf Steiner) et enfin à l’Ecole St-Luc de Tournai en Belgique.
Dès l’âge de 14 ans, il commence à peindre. Les voyages le tentent, la Méditerrannée l’attire.... la mer , les rivages, les ciels..., qui l’ont inspiré.
Qu’il s’agisse de ses aquarelles «fluides et poétiques» ou de ses «puissantes compositions à l’huile d’un surréalisme cosmique, la lumière est là, s’emparant de nous, nous forçant à regarder, à voir et surtout à ressentir.»
Cette lumière qui baigne ses paysages les entoure de mystère et crée un climat étrange et fascinant qui nous envoûte».
(Trouvailles Avril-Mai 1981)



Galerie Guigne (Paris 1981)
« Dominique est né à Limoges en 1947, d’une famille travaillant dans la porcelaine depuis des générations.
Le talent délicat du peintre, il l’a trouvé dans son berceau et, plus tard, Dominique a développé la finesse du trait, de la couleur et de la composition.
Puis, établi avec ses parents à Courbevoie, il fait ses études à l’Ecole Perceval (méthode Rudolf Steiner) et enfin à l’Ecole St-Luc de Tournai en Belgique.
Dès l’âge de 14 ans, il commence à peindre. Les voyages le tentent, la Méditerrannée l’attire.... la mer , les rivages, les ciels..., qui l’ont inspiré.
Qu’il s’agisse de ses aquarelles «fluides et poétiques» ou de ses «puissantes compositions à l’huile d’un surréalisme cosmique, la lumière est là, s’emparant de nous, nous forçant à regarder, à voir et surtout à ressentir.»
Cette lumière qui baigne ses paysages les entoure de mystère et crée un climat étrange et fascinant qui nous envoûte».
(Trouvailles Avril-Mai 1981)



LA PEINTURE MYSTIQUE DE DOMINIQUE...
par Dame Françoise TEMPRA
La qualité magique des paysages du peintre français Dominique Philippe, avec leur composition centrale, et leur éclairage toujours fascinant, suggère inévitablement les vers de Shelley (1792 - 1822) :
«La lumière céleste luit pour toujours, les ombres de la Terre volent;
La Vie, comme un dôme de verre multicolore,
Demeure le blanc rayonnement de l’éternité».
Cependant, tandis que dans la palette doucement diffuse de Dominique, l’effet dramatique de son échelle chromatique, et la fluidité de son éxécution, rappellent ceux de Turner (1775-1851), toutes ses compositions possèdent une lumière propre, au centre de la toile, mélangées à l’infini, qui provoque la fascination la plus intense.
L’une est particulièrement entrainée dans les profondeurs de la toile, comme dans un monde merveilleux et mystique hors d’atteinte, mais pas au delà du désir d’accéder à cette «blanche irradiation de l’éternité».
L’élément lyrique des travaux du poète Anglais et du peintre Français ne représente pas seulement des similitudes entre les deux hommes.
Tous deux célèbrent la beauté de la nature, s’y délectent et s’y promènent, avec un esprit toujours passionné de découverte de voyage et d’aventure.
Dominique, né à Limoges en 1947, conquiert l’Italie à 20 ans, part à la découverte, comme les Orientalistes du XIX°, de la sublime lumière de l’Afrique du Nord, continue ses pérégrinations chez les Vikings, quand les cieux tourmentés de Picardie jetèrent leurs sortilèges inimaginables sur l’Artiste et sur la gentille et aimable, Alice, sa femme.
Ils habitent dans la «Maison de l’Artiste», village de Pernois, au coeur de la Picardie, dans le nord de la France.
Nichant parmi les arbres et les fleurs, un ruisseau chantant dans le jardin, la «Maison de l’Artiste», avec ses poutres rustiques et ses cheminées en briques, devient un paradis créateur pour Dominique dont l’atelier, en mezzanine, est inondé par la lumière et les toiles, royaume de la paix et de la peinture consacré au travail et à l’étude, est seulement troublé par la voix d’Alice et les visites courtoises de Rex, le chien de la famille, dont l’aristocratique comportement n’a de temps que pour les sauts et les mordillements de Gribouille, le chiot effronté, ou le provocant minou, le chat toujours ronronnant.
L’ardeur spontanée de Dominique, sa générosité, son altruisme sont, de plus reflétés dans l’aide qu’il accorde aux artistes plus jeunes ou moins connus.
Il a crée et dirige «L’Association des Artistes de la Vallée de la Nièvre», prenant sous sa protection, peintres, sculpteurs et musiciens, donnant fréquemment de son temps, de son talent et ses ressources.
Un artiste de talent et un homme généreux Dominique Philippe, nous forçant à croire, l’un et l’autre, en notre Société et en l’Art.
par Dame Françoise TEMPRA
La qualité magique des paysages du peintre français Dominique Philippe, avec leur composition centrale, et leur éclairage toujours fascinant, suggère inévitablement les vers de Shelley (1792 - 1822) :
«La lumière céleste luit pour toujours, les ombres de la Terre volent;
La Vie, comme un dôme de verre multicolore,
Demeure le blanc rayonnement de l’éternité».
Cependant, tandis que dans la palette doucement diffuse de Dominique, l’effet dramatique de son échelle chromatique, et la fluidité de son éxécution, rappellent ceux de Turner (1775-1851), toutes ses compositions possèdent une lumière propre, au centre de la toile, mélangées à l’infini, qui provoque la fascination la plus intense.
L’une est particulièrement entrainée dans les profondeurs de la toile, comme dans un monde merveilleux et mystique hors d’atteinte, mais pas au delà du désir d’accéder à cette «blanche irradiation de l’éternité».
L’élément lyrique des travaux du poète Anglais et du peintre Français ne représente pas seulement des similitudes entre les deux hommes.
Tous deux célèbrent la beauté de la nature, s’y délectent et s’y promènent, avec un esprit toujours passionné de découverte de voyage et d’aventure.
Dominique, né à Limoges en 1947, conquiert l’Italie à 20 ans, part à la découverte, comme les Orientalistes du XIX°, de la sublime lumière de l’Afrique du Nord, continue ses pérégrinations chez les Vikings, quand les cieux tourmentés de Picardie jetèrent leurs sortilèges inimaginables sur l’Artiste et sur la gentille et aimable, Alice, sa femme.
Ils habitent dans la «Maison de l’Artiste», village de Pernois, au coeur de la Picardie, dans le nord de la France.
Nichant parmi les arbres et les fleurs, un ruisseau chantant dans le jardin, la «Maison de l’Artiste», avec ses poutres rustiques et ses cheminées en briques, devient un paradis créateur pour Dominique dont l’atelier, en mezzanine, est inondé par la lumière et les toiles, royaume de la paix et de la peinture consacré au travail et à l’étude, est seulement troublé par la voix d’Alice et les visites courtoises de Rex, le chien de la famille, dont l’aristocratique comportement n’a de temps que pour les sauts et les mordillements de Gribouille, le chiot effronté, ou le provocant minou, le chat toujours ronronnant.
L’ardeur spontanée de Dominique, sa générosité, son altruisme sont, de plus reflétés dans l’aide qu’il accorde aux artistes plus jeunes ou moins connus.
Il a crée et dirige «L’Association des Artistes de la Vallée de la Nièvre», prenant sous sa protection, peintres, sculpteurs et musiciens, donnant fréquemment de son temps, de son talent et ses ressources.
Un artiste de talent et un homme généreux Dominique Philippe, nous forçant à croire, l’un et l’autre, en notre Société et en l’Art.